Pour un environnement urbain sain et sécuritaire, les voitures en circulation sont soumises à des contrôles techniques. Cela permet non seulement de garantir la sécurité de chaque citoyen et de la sécurité routière, mais aussi de vérifier si un véhicule présente des anomalies et exige des réparations.
Qu’entend-on par contrôle technique ?
Il s’agit d’examiner l’état d’un véhicule léger (particulier ou utilitaire) sur 10 fonctions et 124 points. Ce contrôle concerne surtout les voitures pesant moins de 3,5 tonnes et dure environ 20 minutes. Toutefois, ce temps varie en fonction de la nature de la visite. C’est une vérification minutieuse tenue par un contrôleur agréé par l’État. Elle se veut de faire un bilan des organes de sécurité de la voiture. Suivant les textes de réglementation de l’arrêté du 18 juin 1991, ce dernier est obligatoire depuis le 1er janvier 1992.
Les diverses démarches pour les visites techniques
Tout d’abord, on a la visite technique périodique. Elle s’effectue un semestre avant la quatrième année de circulation du véhicule. Par la suite, les autres visites se font tous les deux ans. Durant cet entretien, le contrôleur fait état des éventuelles anomalies dans un procès-verbal. Si le véhicule est nickel et ne présente aucune détérioration significative, le contrôle technique est validé. Le conducteur obtient une attestation sur sa carte grise et sur son pare-brise. Si le véhicule présente une ou plusieurs détériorations importantes, le conducteur devra effectuer des réparations en l’espace de deux mois. Puis, il devra soumettre son véhicule à une contre-visite (vérification des défauts ayant fait l’objet d’un PV). Puis, on a la visite complémentaire pour les véhicules utilitaires légers. Il y a aussi le contrôle technique volontaire. Elle suit les mêmes principes de vérifications que la visite technique périodique. Cependant, le conducteur ne reçoit aucune certification ou vignette.
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